Mon histoire

Bienvenue à vous dans mon histoire 💖
Elle n’est pas parfaite, mais elle est vraie. Et si elle peut vous apporter un peu de baume au cœur, alors elle aura déjà trouvé son sens.

Je m’appelle Audrey DUVAL, et si vous êtes ici, peut-être que vous traversez une période difficile, ou que vous cherchez à redonner du sens à votre vie. Je vous comprends, parce que moi aussi, j’ai connu ces moments de doute, de souffrance, et de perte de repères.

Très jeune, j’étais passionnée par la musique, la danse, le dessin, la science, le sport, les jeux vidéos… J’aimais expérimenter, créer, transmettre. Mais à partir de l’adolescence, cette lumière en moi s’est peu à peu éteinte. Les critiques et les moqueries, m’ont fait rejeter mon corps, ma personnalité, et mes envies. Je me suis mise à croire que je devais compenser qui j’étais, prouver ma valeur, être « meilleure » pour être aimée.

Des relations difficiles et une peur de s’exprimer

Étant donné que j’avais souvent été critiquée, j’avais peur de nouer des liens profonds avec les gens et de montrer qui j’étais vraiment. Je me disais que si je me dévoilais, ils finiraient par me rejeter. Il m’arrivait même de me voir comme un déchet. Oui, certaines pensées peuvent être dures, violentes, et pourtant bien réelles.

J’attirais souvent des amitiés où je finissais par être déçue, critiquée dans mon dos, ou approchée uniquement par intérêt. Cela renforçait l’idée que je ne méritais pas l’amour des autres. Alors j’ai préféré ne plus prendre de risques. Je me suis coupée du monde autant que possible. Je passais beaucoup de temps seule, et dans cette solitude, j’ai appris à mieux me connaître. 

Parler en public, aussi, était une épreuve. Chaque prise de parole me semblait être une mise à nu. J’avais peur qu’on me juge, qu’on me ridiculise, qu’on rejette mes idées. Alors je me taisais la plupart du temps, même quand j’avais quelque chose à dire. Le silence devenait une forme de protection. Mais il m’empêchait aussi de me relier aux autres, de partager, et d’être heureuse.

Des études poussées… jusqu’à l’épuisement

Après le collège, j’ai sérieusement envisagé les beaux-arts. Mais autour de moi, on me répétait que j’étais « trop intelligente pour ça », que je devrais viser un métier plus stable, plus sérieux. L’art était « risqué ». Alors, guidée par un certain attrait pour les mathématiques et mes bons résultats dans ce domaine, j’ai choisi cette voie-là.

Puis j’ai tout donné dans mes études. J’ai fait une licence en mathématiques appliquées aux sciences sociales, puis un master en méthodes stochastiques et informatiques pour la décision. J’aimais les maths, du moins au début.

Les maths du niveau universitaire me demandaient une implication constante, je ne sortais plus. Rien n’était simple : chaque réussite était le fruit d’un travail acharné. Pour moi, faire les choses à moitié et obtenir de mauvais résultats n’était pas une option. Je voyais mes résultats comme le reflet de ma valeur, et chaque contre-performance me tirait un peu plus vers le fond.

À un moment, j’étais tellement épuisée et dégoûtée des maths que j’ai sérieusement envisagé d’arrêter pour me réorienter vers des études de psychologie. Je voulais mieux comprendre ma vie, mes souffrances et aider par la même occasion les personnes qui sont passées par là. Cependant, j’avais peur qu’on me voie comme un échec, que cela me fasse perdre l’amour des autres. En pesant le pour et le contre, arrêter me semblait plus douloureux que continuer. Alors j’ai puisé dans mes forces pour continuer ce que j’avais démarré.

Je n’étais plus moi-même, j’étais en grande en souffrance, complètement vide à l’intérieur et toutefois, j’affichais mon meilleur visage en public. J’étais douée dans l’art du camouflage… C’est dans ces périodes sombres que ma résilience s’est renforcée. Une qualité précieuse, certes, mais ambivalente : elle m’a appris à tenir bon, parfois trop longtemps, au point de tolérer l’intolérable sans oser en sortir.

Mon anxiété a pris de l’ampleur, entraînant insomnies, migraines, troubles alimentaires, achats compulsifs, pensées envahissantes et un vide intérieur que rien ne comblait… Je ne vivais plus, je survivais et je donnais tout pour avoir de bons résultats scolaires.

Heureusement, quelques matières en informatique dans ma filière venaient alléger ce quotidien pesant. C’étaient des moments où j’avais l’impression de souffler, parfois même de prendre du plaisir. Je gérais sans trop d’efforts, contrairement aux maths. Ces instants m’ont permis de garder un lien, même fragile, avec ce que j’aimais vraiment. Car oui, pendant mon temps libre, j’adorais créer des sites internet, faire des créations graphiques, et en apprendre toujours plus sur les ordinateurs. C’était mon espace à moi, loin des exigences, où la curiosité reprenait le dessus sur la performance.

Une carrière de 13 ans en informatique

J’ai trouvé un premier travail dans l’informatique, entourée de collègues formidables qui m’ont aidée à retrouver un peu de joie au quotidien. J’ai commencé par me former au métier d’administratrice de bases de données pendant environ un an et demi. Puis, pendant plusieurs années, j’ai exercé en tant qu’administratrice SharePoint, un outil de collaboration.

Au fil du temps, mon rôle a évolué vers le coaching et l’accompagnement des utilisateurs pour les aider à mieux appréhender les outils de la suite Microsoft 365 comme SharePoint Online, Teams, OneDrive. Je les guidais pour qu’ils puissent les utiliser de manière autonome et efficace dans leur quotidien professionnel. Je suis intervenue dans des phases de transitions majeures. J’ai alors compris que ce qui m’animait profondément à ce moment là, c’était d’accompagner les gens lors de grands changements et de rendre leur quotidien plus fluide et plus serein.

Une exploration intérieure vers la guérison

En parallèle, j’ai commencé à explorer la spiritualité, la méditation, et différentes pratiques de guérison énergétique. Je cherchais un moyen d’aller mieux, d’apaiser mes nombreuses peurs ainsi que les pensées inconfortables et limitantes qui tournaient en boucle dans mon esprit. J’expérimentais avec curiosité tout ce qui pouvait m’apporter un peu de soulagement. Certaines approches m’apaisaient, mais sans jamais me donner les clés pour une transformation profonde et durable.

Même si j’avais trouvé un métier qui semblait me correspondre et qui m’apportait de la joie, mes souffrances étaient toujours là. Le temps ne faisait rien sur moi. J’avais peur de ne pas être assez, de mal faire, d’intervenir lors de réunions ou de présentations. J’avais peur d’être à nouveau critiquée et humiliée… Alors, ma stratégie était soit d’éviter les projets trop risqués pour moi, soit de tout contrôler de manière excessive quand je n’avais pas le choix. Cela m’épuisait car je préparais les choses longtemps à l’avance et je me posais toujours 36000 questions avant d’agir.

La Méthode Vibraction® : un tournant décisif

Puis est venue la période du COVID. Une nouvelle vague de dépression et des peurs amplifiées. Je ne voulais plus de pansements. Je voulais des clés durables. Mon travail ne m’attirait plus autant qu’avant. J’avais envie d’aider les gens sur un plan plus personnel, notamment ceux traversant de grandes souffrances. Mais je ne savais pas comment les aider efficacement, car peu de pratiques avaient réellement fonctionné pour moi durablement. J’étais perdue.

Par la suite j’ai découvert la Méthode Vibraction®. Cette méthode a résonné en moi comme une évidence. Je me suis formée pendant 6 mois en parallèle de mon travail, et j’ai été certifiée en juillet 2024. Dès le début, j’ai commencé à poser mes limites, à dire non quand c’était juste pour moi, à me libérer peu à peu de mes peurs, à me reconnecter à mes envies du moment, à me sentir plus vivante au quotidien. Mon mental s’est enfin apaisé. Peu après, j’ai osé entreprendre, créer mon activité de coaching axée sur la libération des blocages, suivre d’autres de mes envies.

Et oui, j’ai choisi de bâtir mon activité autour de ce qui m’avait le plus impactée : ces freins invisibles qui m’empêchaient d’être moi-même, de m’exprimer, ces peurs qui m’éloignaient de ce que je voulais vraiment vivre. Je connais trop bien les blocages… je les ai traversés en long et en large. Pendant longtemps, j’ai vécu avec la sensation d’avoir peur de presque tout : peur de déranger, peur de m’exprimer, peur d’être visible, peur de blesser, peur d’échouer, peur d’être jugée, peur de ne pas être à la hauteur, peur de finir seule, … Ces peurs m’ont longtemps enfermée.

Aujourd’hui : transmettre, accompagner, éclairer

Aujourd’hui, je ne suis pas « guérie » de tout, mais je suis profondément plus légère, plus libre, plus vivante et heureuse. Je souhaite à chacun de vivre cette transformation. Parce que oui, il est possible de se libérer définitivement de ses souffrances et de ses blocages par soi-même, en toute autonomie, pour avancer vers une vie plus épanouissante. 

Au fil des années, j’ai développé une solide expérience dans l’art de transmettre en rendant accessibles des concepts parfois complexes, sans en perdre la richesse ni les nuances. Mon parcours scientifique m’a appris à structurer, clarifier, et simplifier. Aujourd’hui, j’applique ces facultés à la Méthode Vibraction®, qui aborde des dimensions énergétiques. Je m’efforce de les rendre concrètes, compréhensibles et applicables au quotidien, pour que chacun puisse s’approprier la méthode en toute autonomie et en tirer des bénéfices durables.

De plus, les années passées à accompagner des personnes dans leurs transitions informatiques, parfois déstabilisantes, m’ont permis de développer des qualités essentielles : l’écoute, la patience, la douceur, et la capacité à créer un espace sécurisant où chacun peut avancer à son rythme

💫 Et si c’était possible pour vous aussi ?

Le changement est possible, même après des années à vivre dans la peur, le mal-être ou le doute. Je suis passée par là. Et si j’ai pu me libérer, alors vous le pouvez aussi.

Je serais ravie de vous accompagner sur ce chemin, avec douceur et écoute. 🌺

Audrey
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